Les enseignements tirés de cet événement :

1 – Les contraintes réglementaires

  • Les contraintes réglementaires peuvent être considérées comme des leviers pour l’action, mais les réponses structurelles actuelles (entreprise à mission…) demeurent encore insuffisantes.
  • Quelles sont les évolutions dans le dialogue avec l’Etat pour les assureurs ? (avec les menaces règlementaires européennes et françaises croissantes)
  • La France est un État providence sur la prise en charge des catastrophes naturelles et du Covid…
  • Aujourd’hui il est nécessaire d’établir un dialogue entre les assureurs, l’État et l’Europe réajustant les rôles et responsabilités entre les parties prenantes.

2 – L’inscription dans la durabilité

  • L’inscription dans la durabilité s’oppose au marketing de l’immédiateté.
  • Comment combler cet écart ? Comment tirer parti des actions responsables ?

3 – Les rôle sociétal des assureurs

Le rôle sociétal des assureurs, de par la nature du métier comme compagnon de vie avec :

  • une capacité à accompagner les changements (calcul de l’empreinte carbone/aide à sa réduction) tant des entreprises que des clients particuliers
  • une capacité à prédire les comportements de demain
  • un devoir de construire des modèles prédictifs face au dérèglement climatique et aux pandémies
  • et in fine les questions clés de comment mieux appréhender les besoins des jeunes assurés, salariés et consommateurs (millenials) et se préparer au vieillissement de la population ?